Pluies diluviennes le 1er novembre – Débordement violent et rapide des rivières dans le courant de la nuit. Une hauteur d’eau qui atteint 1m50 près de la porte du musée – Dégâts considérables dus à la soudaineté de la catastrophe : appartements envahis par la boue, voitures noyées, caves inondées, éboulements…
La violence de la montée des eaux a été facilitée par une précédente crue le 22 octobre qui avait saturé les terrains des bassins versants. La Turdine n’a pas atteint une hauteur très importante, alors que la Brévenne a très largement dépassé les hauteurs connues lors des précédentes crues. Les hauteurs d’eau dans les parties basses de la ville sont dues en grande partie au refoulement des eaux ne pouvant s’évacuer sous le giratoire Est de la ville.